Physique spatiale
On étudie si la collaboration croisée entre différentes communautés de recherche pourrait être la voie à suivre pour aider à mieux comprendre le déclenchement d'événements extrêmes.
La modélisation de l'environnement radiatif de la Lune et de ses effets est un élément important pour la conception et la protection des ressources lunaires.
De fortes éruptions solaires peuvent accélérer des particules telles que les électrons, les protons et les ions plus lourds à des énergies élevées. Machine Learning pour améliorer des prédictions.
Nous étudions les aurores terrestres dans l’ultraviolet, le visible ainsi que dans le domaine radio. A travers les observations et les modèles, le but est de mieux comprendre les processus physiques qui sont à l’œuvre lors de la formation des aurores.
Le signal transmis n’était pas polarisé circulairement comme voulu et que le faisceau ne pointait pas vers le zénith mais à environ 10° vers l’ouest. L’émetteur a été modifié en conséquence.
In-situ measurements revealed that the transmitted signal was not truly circularly polarized as expected and that the beam was not pointing at the zenith but ~10° westwards. The transmitter has been adapted accordingly.
In-situ measurements revealed that the transmitted signal was not truly circularly polarized as expected and that the beam was not pointing at the zenith but ~10° westwards. The transmitter has been adapted accordingly.
Dans le Limbourg, 7 stations de réception BRAMS 2.0 ont été installées en plus des 3 stations existantes dans le but d’augmenter la qualité des données BRAMS.
Les missions solaires permettent de constater la présence de particules très énergétiques (suprathermiques) proches du Soleil à l'origine de l'accélération du vent solaire.
Les comètes contiendraient les échantillons de matière du système solaire primitif les plus purs. Cependant, nous avons pu montrer qu’elles sont altérées par les rayons cosmiques.
Dans le zoo des gaz neutres découverts par Rosetta sur la comète 67P, la famille des « poissons de mer » grandit.
L’IASB construit les capteurs de champ électrique pour la mission Comet Interceptor de l’ESA, dont l’objectif est d'étudier une comète dans son état d'origine.
L'Energetic Particle Telescope (EPT) fournit des mesures des flux des particules à 820 km d’altitude pour déterminer les fortes variations.
La multitude d’espèces de gaz neutres découvertes par ROSINA sur la comète 67P/Churyumov-Gerasimenko forme un zoo cométaire. Dans ce zoo, un « animal » particulier est resté insaisissable pendant longtemps: les substances halogénées.
Le taux d’échappement atmosphérique pour une Terre hypothétique, mais non magnétisée, serait à peu près le même, voire un peu moindre, que pour la vraie Terre.
La sonde Sweeping Langmuir Probe (SLP), développée à l’IASB, est l’un des deux instruments qui embarqueront à bord du CubeSat de l’ESA, PICASSO, en 2019. TLes objectifs principaux de SLP sont de mieux comprendre le couplage magnétosphère-ionosphère et les structures des aurores.
L’Energetic Particle Telescope (EPT) a été lancé le 7 mai 2013 sur le satellite de l'ESA, PROBA-V, et mis sur une orbite polaire basse à 820 km d'altitude. Il fournit des observations depuis 5 ans.
Les plasmas spatiaux sont essentiellement des systèmes sans collision hors équilibre thermique, où l'on observe des populations accrues de particules suprathermiques.
Des scientifiques ont identifié un nouveau type de sursauts radio associés aux éruptions solaires: les sursauts ALF (bursts). Les observations des sursauts ALF fournissent des informations uniques sur les premiers stades des éruptions solaires et peuvent être utilisées à des fins de diagnostic et de pronostic.
Depuis 2010, l'IASB a développé le réseau BRAMS (stations belges de radios belges) afin de détecter et de caractériser les météoroïdes. Un système plus traditionnel de «rétrodiffusion», un radar météorite «interne», est actuellement construit au Centre de géophysique de Dourbes.
Le modèle dynamique tridimensionnel de la plasmasphère développé par l’IASB est désormais disponible sur le site Web SSA (Space Situational Awareness) de l'ESA.
Le consortium PECASUS est l’un des trois centres mondiaux de services de météorologie spatiale. Le groupe de météorologie spatiale de l’IASB sera chargé de la coordination des activités du groupe d’experts des rayonnementset de la fourniture d'un appui scientifique aux opérateurs en service.
Dans le cadre de la proposition pour la mission spatiale THOR, l’IRAP (Toulouse) et l’IASB ont mis au point l’appareil de mesure du vent solaire le plus rapide et le plus précis jamais conçu.