Grâce aux observations réalisées par l'instrument SOIR (Solar Occultation in the Infrared) à bord de la sonde spatiale Venus Express de l'Agence spatiale européenne (ESA), les chercheurs ont mis en évidence une augmentation inattendue de l'abondance de deux variantes de molécules d'eau - H2O et HDO - ainsi que de leur rapport HDO/H2O, dans la mésosphère de Vénus.
La troisième édition de la campagne CINDI s'est déroulée en mai-juin 2024 à l'observatoire de Cabauw. Plus de 100 personnes de 16 pays, avec 44 instruments, ont participé à cette campagne internationale de mesure, la plus grande du genre au monde pour tester et comparer différents instruments de mesure de type MAX-DOAS qui mesurent la pollution de l'air, comme le dioxyde d'azote et l'ozone.
Une nouvelle étude révèle pour la première fois la présence de glace d’eau sous forme de givre au sommet des volcans martiens près de l’équateur. Cette découverte a été publiée dans un récent article du journal scientifique Nature Geoscience, avec des contributions de chercheurs de l’Observatoire royal de Belgique (ORB) et de l’Institut royal d’Aéronomie Spatiale de Belgique (IASB).
De nombreuses personnes, y compris des scientifiques, pensent que la Lune n'est qu'une boule de roche grise dans notre ciel et qu'elle est scientifiquement ennuyeuse. Pourtant, c'est le contraire qui est vrai. Comme la Lune n'a pas d'atmosphère semblable à celle de la Terre, sa surface reste pratiquement inchangée pendant des années. C'est comme une capsule géologique...
Le Dr Ir Ann Carine Vandaele, chef du département « Rayonnement solaire en atmosphères » à l'Institut royal d'Aéronomie Spatiale de Belgique (IASB), est nommée nouvelle directrice générale de l'Institut, à compter du 1er mai 2024. Ann Carine prendra la relève de Ronald Van der Linden, qui a occupé le poste a.i. pendant trois mois dans l'attente de la nomination du nouveau directeur.
En décembre 2021, la mission de l’Atmosphere-Space Interactions Monitor (ASIM) à bord de la Station spatiale internationale (ISS) devait prendre fin. L’instrument devait céder sa place à l'extérieur du module Columbus à un autre payload. Toutefois, grâce à la qualité scientifique exceptionnelle des observations des décharges électriques dans la haute atmosphère, telles que les «red sprites» ou les «blue jets», l'ESA a décidé de maintenir ASIM, mais de le déplacer, plutôt que de le retirer et de le détruire.